@article{South_Hansen_1992, place={France}, title={Des stocks volumineux : une stratégie concurrentielle. }, volume={11}, url={https://rfgi.fr/rfgi/article/view/190}, DOI={10.53102/1992.11.02.190}, abstractNote={<p>Le succès du juste-à-temps (JAT), cette technique de production développée au Japon, a généré aux Etats Unis une attention croissante à l’égard de la réduction des stocks. La société Toyota fonctionne suivant la philosophie : "pour une industrie, la position la plus désirable est de ne pas avoir de stocks’’[4, p.43]. Les auteurs américains ont fortement repris ce thème. Certains considèrent ces stocks comme "un gaspillage qui coûte cher"[8, p.6]. Pour les Japonais, le stock est "néfaste" à l’entreprise [9, p.31]. Dans un article récent qui résume la philosophie américaine actuelle du JAT, le premier principe énoncé est : "se rapprocher du zéro stock"15,<br />p.57]. Notre intention, à travers cet article, n’est en aucun cas d’argumenter, de quelque façon que ce soit, en faveur d’un retour aux bon vieux temps du règne de l’indifférence vis-à-vis du niveau des stocks ; cette approche de la production a été d’ailleurs considérée par certains auteurs comme le juste-au-cas-où [2, p.92j. La bataille livrée contre les stocks trop gonflés a eu pour effets un certain nombre d’améliorations significatives en ce qui concerne la productivité de beaucoup de compagnies aux Etats Unis [8]. L’énorme production de Toyota démontre largement les gains que l’on peut tirer d’une approche zéro stock. Cependant, tous les environnements de production ne sont pas équivalents à celui de Toyota.</p>}, number={2}, journal={Revue Française de Gestion Industrielle}, author={South, John and Hansen, Leon}, year={1992}, month={juin}, pages={5–12} }